31/01/2023
Chronique 329
Chers lecteurs,
J'interromps ma publication sur les vins de Nouvelle-Zélande en insérant cette chronique au milieu. Elle a été préparée avant mon voyage là-bas. Pour l'instant, je cherche à regoûter quelques vins néo-zélandais en France. Il se trouve que le cru ayant obtenu un coup de coeur absolu avec des notes entre 18 et 20, n'a pas encore mis au marché le millésime en question. J'ai appris aujourd'hui qu'il devrait arriver. Je sais déjà que le nombre de bouteilles destiné au marché français sera epsilonique : 84 bouteilles de chardonnay, 180 de pinot noir semble-t-il. Je diffuserai une publication spéciale. Merci de votre patience.
La solitude des crus qui progressent et que l'on ne voit pas de suite
J'interromps ma publication sur les vins de Nouvelle-Zélande en insérant cette chronique au milieu. Elle a été préparée avant mon voyage là-bas. Pour l'instant, je cherche à regoûter quelques vins néo-zélandais en France. Il se trouve que le cru ayant obtenu un coup de coeur absolu avec des notes entre 18 et 20, n'a pas encore mis au marché le millésime en question. J'ai appris aujourd'hui qu'il devrait arriver. Je sais déjà que le nombre de bouteilles destiné au marché français sera epsilonique : 84 bouteilles de chardonnay, 180 de pinot noir semble-t-il. Je diffuserai une publication spéciale. Merci de votre patience.
La solitude des crus qui progressent et que l'on ne voit pas de suite
- Tu connais Lafon Rochet ?
- Oui, à Saint-Estèphe.
- Quel est le dernier millésime que tu as goûté ?
- Le 2005.
- Rien après ?
- Non.